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Les différents lavoirs de la ville (tel que définit dans le site de la ville aux trois rivières de la Mairie de Mont de marsan)

Le lavoir du Bourg-Neuf (dans les douves le long de la rue des Remparts)
Figurant déjà sur le cadastre de 1811, c'est certainement le plus vieux de Mont-de-Marsan encore existant. Ses deux bassins sont alimentés par une fontaine où on peut lire gravé dans la pierre " 1734 ". Ce lavoir fut reconstruit en 1894 sur les plans de Henri Dépruneaux, architecte de la ville.

Le lavoir de la cale (cale de l'abreuvoir, prés des cinémas).
En 1869, pour remplacer le lavoir de la Fontaine du Bourg " disparu " de la Grande Place14, la municipalité décida d'en édifier un autre, entre le pont de l'Hôtel de Ville et le pont du Commerce. Ce lavoir est alimenté par les sources
d'eau vive recueillies ou captées à la sortie des propriétés environnantes et réunies dans le bassin au moyen d'aqueducs souterrains.

Le lavoir de Nonères ou de la Pépinière ou du Pont de la Pépinière (dans le parc Jean-Rameau)
La construction de ce lavoir eut lieu en 1860 . La charpente en bois fut remplacée en 1934.
Sur la commune de Nonères existait un lavoir plus à l'est dans la Pépinière (il figure sur le cadastre de 1811 de cette commune).

Le lavoir de Rigole ou de Tambareau (en contrebas de la rue de Lagrange, dans la Pisciculture de l'association de peche)
Jusqu'en 1866 il était sur la commune de Saint-Pierre-du-Mont. En 1907, le lavoir fut déplacé et reconstruit sur les plans de Henri Dépruneaux, architecte de la ville. En 1934 il fut de nouveau détruit et reconstruit.

Le lavoir de la fontaine, de la porte Campet ou de la Tannerie (en contrebas de la place Raymond-Poincaré)
Situé au bord de la Douze, il existait déjà au XIXème siècle car il figure sur le cadastre de 1811 sous le nom de " Fontaine ". Des travaux y sont signalés en 1845 et 1868.

Le lavoir du quai (cale des Chalands, face à la Minoterie)
Aucune trace sur la réalisation ou la vie de ce lavoir, sans doute postérieur à 1845 puisqu'il ne figure pas sur le plan cadastral de cette année. Bordé d'immeubles des deux côtés, c'est le seul lavoir montois emprisonné dans le tissu urbain. Il est alimenté par la source de la fontaine de Laburthe et les eaux pluviales qui s'écoulent dans deux bassins, un grand et un petit.

Le lavoir de Saint-Médard (avenue Jean-Dupouy)
C'est le plus récent des lavoirs montois puisqu'il date de 1939. Il n'est pas alimenté par des sources mais par l'eau de ville

Nota : Un lavoir Privé est visible en contre bas de la rue Eloi Ducom à proximité de l'immeuble construit récemment du coté Midou.